Le lundi soir, 31 Août 2020 aux environs de 20h45.
nous avïons constaté que la portion de route boisée qui mène notre « bik » (campement à Sarcelle Goyave), était remplie de planchettes à clous pour crever les roues de nos adhérents qui rentrent au « bik » le soir après leur travail. Nous avions tout ramassé et mis en tas à côté du « bik ».
Aujourd’hui, ce mardi 1er Septembre 2020. Tous nos panneaux ont été mutilés voire enlevés par cette organisation criminelle dirigée par la clique habituelle : pouvoir public, ONF et la chambre d’agriculture.
Ils parlent des installés, mais en réalité ce n’est qu’un groupe de commandités à de sales besognes que nous constatons ; d’autant plus que parmi ces gens là, il y a ceux qui disposent déjà de plus de 150 hectares de terrains plantés.
Nous n’avons aucun doute, que ce sont des commandos préparés pour récupérer notre foncier au profit des voleurs de terres que sont : l’ÉTAT et l’ONF, qui n’hésitent pas à tenter de corrompre la plus pan de nos adhérents par des promesses, où même d’essayer d’introduire des infiltrés
parmi les adhérents du « bik » pour créer la zizanie.
Ces organisations criminelles n‘ont jamais engagées quelque procédure civile contre nous.
Toute leur force de persécution est basée sur des procédures pénales contre tous ceux et celles qui tenteraient de nous rapprocher, soit par des procès-verbaux ou par des affaires en comparution immédiate. Ces malades ont réussi à faire de la justice française les véritables bras armés de leur entreprise de gangsters et voleurs.
Quant à la chambre d’agriculture, le peuple de notre pays a déjà constaté qu’il s’agit d’un
organisme d’irresponsables pour a propagande et la d version utilisés par nos ennemis à ses fins barbares La chambre d’agriculture n’a aucune crédibilité aux yeux des guadeloupéens.
La chambre propose des réunions sur réunions sans jamais tenter de consulter le moindre Intéressé. C’est du pipeau !!
La chambre est complice d’avoir accepté d’homologuer des installations sur nos terres. Alors que ces installations sont faites en arrachant des jardins des anciens pour planter celui de l’installé. Voilà le travail de la chambre.
Le Président,
André Guyon